Voici ce que dit France 3 au sujet d’un “survivaliste” arrêté à Carnas, un village proche de Montpellier :
Un homme interpellé par le GIGN dans le Gard : marginal et survivaliste, il avait piégé son terrain d’explosifs achetés sur Internet
L’individu d’une cinquantaine d’années a été interpellé à Carnas dans le Gard après avoir acheté des produits destinés à la fabrication d’explosifs. Déjà connu pour des faits de violence et psychologiquement fragile, il a été hospitalisé dans un établissement spécialisé.
C’est ce qui s’appelle avancer en terrain miné. Les gendarmes du Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) ont dû intervenir chez un individu à Carnas dans le Gard. Il a été interpellé chez lui mardi 11 octobre dans la soirée, après avoir acheté sur Internet divers produits destinés à la fabrication d’explosifs
Un mensonge des médias ?
Les médias dans leurs articles sur cette affaire ont présenté un chasseur dangereux, directement lié à l’association de chasse locale, comme un “survivaliste”. Pas un mot dans les articles sur le lien direct avec l’association de chasse, un lien très fort qui lui a servi de protection pour accumuler les méfaits et faire peur aux habitants. Ce criminel est avant tout un chasseur faisant parti d’un groupe local, ce que les médias ont transformé en “survivaliste”.
En étudiant les reportages parus dans les grands médias ces dernières années, on constate que ces médias essaient de donner un côté positif aux chasseurs, ou de mettre les affaires d’homicide par des chasseurs dans de petits articles vite supprimés (une façon d’étouffer ces affaires qui devraient être plus médiatisées).
Par exemple un reportage de France 2 a présenté un gentil chasseur qui a sauvé un jeune cerf d’un incendie cet été. C’est de la propagande grotesque.
Premier constat : au niveau national, les associations de chasse ont passé des accords avec Macron. Ces associations soutiennent Macron en appelant à voter pour lui, et en échange Macron verse des millions d’argent public à ces associations. De plus les médias macronistes vont essayer de donner une image positive des chasseurs, ou d’étouffer les affaires d’homicides.
Deuxième constat : au niveau local, les associations de chasseurs mettent la pression sur les maires pour pouvoir faire ce qu’ils veulent, comme chasser dans des endroits non autorisés, menacer des gens sans conséquences judiciaires, ou importuner les gens avec leurs meutes de chien.
Le but final des “mauvais chasseurs” : faire la loi comme le réclament les associations de chasseurs travaillant en accord avec Macron, et détourner l’argent public grâce aux versements ordonnés par Macron.