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Déformation des faits et oublis volontaires sont le quotidien des médias

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Frédéric Taddeï reçoit dans son émission Ingrid Riocreux, pour parler de son nouveau livre Les Marchands de nouvelles : Médias, le temps du soupçon.

Les journalistes sont une des professions inspirant le moins confiance au public. Déformation des faits, oublis volontaires et choix éditoriaux contestables sont le quotidien des médias.

Dans un curieux mélange des genres, de nombreux médias font passer au second plan l’exactitude des faits, pour mieux réécrire les évènements en fonction de l’idéologie dominante du moment. Ils cherchent à faire passer de la presse d’opinion pour de la presse d’information.

Spécialiste du langage et chroniqueuse pour le magazine Causeur, Ingrid Riocreux tente dans son livre de comprendre les origines de ces troubles et de savoir comment l’information va évoluer.

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