Ozinzen

Sans enfant, elle s’est retrouvée “seule au monde” à 45 ans après le décès de sa mère

Cette journaliste a vécu dans le déni de son désir d’enfant et a volontairement ignoré l’horloge biologique.

Si la solitude choisie est une bénédiction, la solitude subie peut être une torture mentale.

Quitter la version mobile