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L’écologisme et le retour du religieux

Des scientifiques étudient le climat et tentent de prévoir son évolution, c’est la partie scientifique de la question du réchauffement climatique.

Le thème du réchauffement climatique climatique a une deuxième partie, c’est l’impact psychologique sur la population.

Cet impact psychologique aboutit à un phénoméne de type religieux où les “vrais” croyants vont faire pénitence pour se faire pardonner leurs fautes.

Les peines expiatoires imposées comme sanction des péchés sont par exemple : ne pas faire d’enfant, ne pas manger de viande, ne pas vivre dans le confort et ne pas profiter de voyages.

Le fait de ne pas faire d’enfants en raison du réchauffement climatique rejoint le rejet de la sexualité imposé par certaines religions.

Ainsi chez les cathares, le Bien se confond avec le spirituel et le monde matériel est vu comme mauvais. Non seulement le cathare ne doit pas participer à ce monde matériel en ayant des enfants, ce qui reviendrait pour lui à emprisonner une âme dans un corps créé par le principe Mauvais, mais le corps, le plaisir sexuel sont aussi mauvais : la sexualité est une impureté. Dans la pratique, la chasteté n’impliquait que les « parfaits » voués totalement à la religiosité cathare et les simples croyants du catharisme étaient libres d’avoir des relations sexuelles par goût du plaisir érotique.

Tels des martyrs, des membres d’Extinction Rebellion s’attachent à l’aide de glue à des bâtiments publics, pour bloquer la circulation routière et empêcher l’accès aux sièges de grandes entreprises. Des vegans se font marquer au fer rouge pour dénoncer les mauvais traitements infligés au animaux. On voit qu’une bonne intention peut facilement dériver en des mouvements sectaires dangereux.

Un autre phénoméne facile à observer est l’apparition de faux croyants profiteurs et cupides. Tout le monde a entendu parler de ces conférenciers qui font des allers-retours de 10 000 km au-dessus de l’Atlantique pour donner un discours de 15 minutes sur le réchauffement climatique. Dans l’esprit du conférencier c’est logique d’agir ainsi car il n’est pas un gueux auquel les trajets en avion devrait être interdit (alors que le gueux va payer ses voyages avec l’argent de son travail, à l’inverse du conférencier).

Tout comme certains religieux qui étaient totalement inactifs, ces conférenciers n’ont également jamais exercé la moindre activité productive de leur vie. Beaucoup n’ont pas de compétences scientifiques et écrivent juste des rapports de sociologie à propos de l’impact du réchauffement climatique sur les tribus amazoniennes.

Des escrocs à la taxe carbone ont détourné plus de 10 milliards d’euros en Europe, ce qui montre l’opacité de tous ces organismes qui “luttent contre le réchauffement climatique”, et dont les employés vivent dans le luxe, loin de l’idéologie de la décroissance qu’ils vantent tant dans les médias.

Là encore on retrouve un phénoméne religieux, le “faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais”. Des religieux catholiques vivaient dans un luxe invraisemblable, loin du rejet du matérialisme prêché dans le nouveau testament.

Vous devez vivre dans la pauvreté pendant que le politicien engloutit un steak en première classe de son vol transatlantique.

Le terme Gaïa fait allusion à la déesse mère grecque. La religion chrétienne a perdu de nombreux pratiquants en Europe, mathématiquement des gens en quête de sens vont donc s’embarquer dans les nouvelles religions promues dans les médias, comme l’écologie de type superstitieuse.

Les journalistes ont remplacé les prêtres. Les homélies (discours simple prononcé au cours de la messe, leçon de morale) ne sont plus dites dans les églises, mais sur les plateaux de télé.

Les journalistes, comme certains prêtres du temps jadis, sont aussi là pour maintenir le pouvoir de la classe dominante. Les gueux doivent obéir aux croyances et à leurs maîtres.

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