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Le politiquement correct pousse à la violence : le terroriste Ahmad Khan Rahami s’était dit victime de discrimination

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Les partisans du politiquement correct divisent les gens en plusieurs groupes. Selon eux soit on fait partie d’un groupe protégé (les gens d’origine non-européenne, ceux de religion non-chrétienne), soit on fait partie d’un groupe à attaquer (les hommes catholiques par exemple).

Quelqu’un qui fait partie d’un groupe à attaquer est forcément mauvais quoi qu’il fasse, quelqu’un qui fait partie d’un groupe protégé est forcément une victime, quoi qu’il fasse. Les partisans du politiquement correct font une hiérarchie entre les individus en fonction du groupe où ils les ont classés : groupe protégé, ou bien groupe à attaquer.

Les partisans du politiquement correct contrôlent de nombreux médias, comme les journaux Le Monde ou Libération. La propagande politiquement correcte pousse des individus à la violence, puisque des médias répètent 7 jours sur 7 que si on fait partie d’un groupe protégé, on est forcément une victime. Conséquence de ce matraquage médiatique : quelqu’un qui se considère comme une victime va vouloir “contre-attaquer”.

La famille du terroriste Ahmad Khan Rahami avait par exemple porté plainte contre le maire de New York, affirmant avoir été victime de discrimination raciale, pour une histoire de nuisance occasionnée par le restaurant familial.

Evidemment, tout restaurant doit se soumettre à énormément de contrainte administrative. Les problèmes administratifs du restaurant où travaillait ce terroriste n’avaient strictement aucun lien avec la discrimination raciale. Les partisans du politiquement correct ont une fois de plus entraîné des gens dans des délires de persécution.

 

Extrait de lexpress.fr

 

Selon le maire de Linden, Derek Armstead, Ahmad Khan Rahami a ouvert le feu sur les policiers venus l’interpeller. Le suspect a été blessé dans la fusillade, des images de télévision le montrent étendu sur un brancard avec une blessure au bras droit, avant d’être porté dans une ambulance. Trois policiers ont été blessés dans la fusillade. Selon NBC News, l’homme aurait été confondu par son empreinte digitale, retrouvée sur l’un des engins qui n’a pas explosé dans le New Jersey.

Né en janvier 1988, Ahmad Khan Rahami ne figure sur aucune liste de personnes suspectées de terrorisme, rapporte Reuters. Il n’était pas non plus “sur le radar” de la police locale, a affirmé Chris Bollwage, le maire d’Elizabeth, la ville du New Jersey où il vivait.

Selon NBC News, l’homme a étudié entre 2010 et 2012 dans une université du Massachusetts, le “Middlesex Community College”, dont il n’est pas sorti diplômé.

Il travaillait dans le restaurant familial
Il travaillait sous les ordres de son père dans le restaurant familial, “First American Fried Chicken”. Selon le New York Times, la famille de Ahmad Khan Rahami se plaignait d’avoir été victime de discrimination raciale, notamment dans le cadre de la gestion de l’établissement. La mairie a tenté de faire fermer la nuit cet établissement ouvert normalement 24 heures sur 24, en raison des plaintes de riverains. Mais la famille Rahami n’a pas respecté cette injonction, rapporte le quotidien.

A une occasion, le frère du suspect, qui travaillait aussi dans le restaurant, s’est battu avec des policiers venus contraindre l’établissement à fermer pour la nuit. Le jeune homme s’est enfui en l’Afghanistan avant d’être jugé. La famille a ensuite porté plainte contre le maire, le conseil municipal et une vingtaine de policiers, affirmant avoir été victime de discrimination raciale.

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