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Brad Pitt et Angelina Jolie, le comportement paradoxal des célébrités avec les gens ordinaires

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Brad Pitt et Angelina Jolie ont décidé de quitter la France, devenue probablement trop problématique et hasardeuse à leur goût.

Certaines célébrités refusent de se mélanger avec les gens ordinaires et vivent dans des forteresses ultra-sécurisées, entourées d’une petite armée de garde du corps et de toutes sortes d’équipements de sécurité ultra-modernes. Elles n’ont aucune envie de fréquenter un peu les gens du coin ou d’apprendre à mieux les connaitre.

Ce sont les mêmes célébrités qui donnent de grandes leçons de morale dans les médias. Ces acteurs et actrices veulent se donner des airs de supériorité morale à peu de frais et dénoncent les crimes de l’Occident coupable à leurs yeux de ne pas ouvrir totalement ses frontières comme au temps de la chute de l’Empire Romain.

C’est le vieux truc du “Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais”. Problème : une riche célébrité vit dans un monde parallèle et n’a aucune notion de la vie que mène la plupart des gens. Elle va s’exprimer dans les médias sur des problèmes politiques complexes alors que son métier consiste à distraire les masses. Pourquoi Bozo le clown ou un chanteur de variété donneraient-ils leur avis dans une émission politique ?

Extrait d’un article du Figaro

Brad Pitt et Angelina Jolie vendent leur château et quittent la France

Les habitants du village de Correns, eux, ont gardé un goût amer de leur installation. Leurs nouveaux voisins n’ont jamais daigné venir boire un verre à la guinguette. Ni passer devant le maire du village pour leur mariage. « Ils nous prennent pour des culs-terreux », affirmait un des habitants au Journal du Dimanche en 2015, rapporte le site Closer. Brad Pitt et Angelina Jolie avaient renforcé le service de sécurité pour avoir la paix dans leur forteresse assaillie par les paparazzis. Contrairement à l’ancien propriétaire, le couple de stars avait alors fermé les portes de leur propriété aux visiteurs, selon le magazine Vanity Fair qui avait consacré une longue enquête sur « les mal-aimés de Correns ».

 

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