“Brouteurs” : en Côte d’Ivoire, c’est le surnom donné aux cyber-escrocs locaux, aux “maîtres-chanteurs 2.0”. Car comme les moutons, ils se nourriraient sans trop d’efforts. Sur une plage de la capitale économique du pays, l’un d’entre eux a accepté de dévoiler ses techniques – à condition de rester anonyme.

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David Di Nota, romancier et auteur de “J’ai exécuté un chien de l’enfer : rapport sur l’assassinat de Samuel Paty” aux éditions du Cherche-Midi, était l’invité d’André Bercoff sur Sud Radio.

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Une vidéo de Psyhodelik à ne pas prendre au sérieux !

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Pour faire beaucoup de fric facile de nos jours, le plus simple est de fonder une association financée par les fonds publics.

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