Depuis quelques années, un nouveau phénomène a fait son apparition : des groupes Facebook pouvant compter plusieurs milliers de personnes postant les pseudos, les photos et les conversations de leurs rencontres en ligne. Le but est de partager ses commentaires au sujet des femmes qu’ils ont rencontrées (pour les groupes d’hommes), et des hommes qu’elles ont rencontrés (pour les groupes de femmes).
Comme vous vous en doutez, ça ne vole pas bien haut. Les hommes expliquent sur ces pages Facebook au bout de combien de temps ils ont couché avec celle-ci ou celle-là. Les femmes s’échangent des infos et des photos sur la taille du membre de celui-ci ou celui-là.
Ces groupes Facebook sont privés et un peu secrets. Les utilisateurs se rassemblent par ville pour échanger des photos de nus et des commérages en tout genre.
Les hommes s’appellent « Eskimo Brothers » (des frères eskimos) quand ils ont couché avec la même femme rencontrée sur les sites de rencontre comme Tinder. Certains ethnologues affirment en effet que des Eskimos qui ont couché avec la même femme deviennent frère d’adoption.
Des hommes ou des femmes essaient de s’introduire dans les groupes Facebook du sexe opposé pour les espionner en utilisant de faux profil. D’autres sites internet abritent aussi ce genre de groupe de commérage sexuel.
De plus, tout le monde a un smartphone à la main en permanence de nos jours, le nombre de photos sexuelles s’est donc multiplié ces dernières années. Des hackers en ont profité pour pirater les comptes des iPhones de célébrités, ces hackers se sont ensuite fait de l’argent en vendant les photos pornos (privées) d’actrices comme Jennifer Lawrence.
Toutes ces activités de partage de photos sont bien entendu totalement illégales dans la plupart des pays.