Selon un article du journal Le Monde, faire la cuisine serait une tâche ingrate. Ce journal devient de plus en plus mauvais.
Extrait :
La loi a beau évoluer pour seconder les femmes dans leur effort pour déléguer les tâches domestiques et les aider à conjuguer vie professionnelle et vie privée, les habitudes sont tenaces.
C’est en tout cas ce que montre l’une des études de la revue « économie et statistique » publiée jeudi 29 octobre par l’Insee.
La répartition des « temps » domestiques (cuisine, linge, ménage, courses, bricolage) et familiaux (soins aux enfants, loisirs, suivi scolaire, trajets) témoigne de cette inégalité persistante.
Même si, dans un quart des couples, l’homme fait désormais plus de travail domestique que sa conjointe, la femme est souvent cantonnée aux tâches ingrates et répétitives (ménage, linge, cuisine…) quand l’homme garde les travaux plus gratifiants et créatifs (soins des enfants, bricolage…).
« Les hommes se sont davantage impliqués dans l’éducation des enfants, tandis que leur contribution aux autres tâches domestiques est demeurée stable », expliquent les auteures de l’étude.
Tant qu’à faire autant dire que faire la cuisine est une tâche dégradante, une servitude ignoble, de l’esclave domestique, j’en passe et des meilleurs.
Que de bêtise chez les pseudo-intellectuels, c’est super de faire la cuisine et il y a beaucoup de gens qui seraient contents de pouvoir manger à leur faim.