Dans une ambiance rétro du début du XXe siècle, un groom, limite obséquieux, se met en quatre pour accueillir des clients aisés d’un hôtel de luxe et des sportifs que l’on imagine en pleine préparation pour leurs futures compétitions. La conclusion du clip avec un slogan empreint d’autosatisfaction “Les athlètes olympiques sont chez eux sur France 3” nous laisse cependant le sentiment que la “Maison France 3” n’est pas ouverte à toutes et à tous selon les mêmes conditions.
Mes cheveux bleus vous emmerdent !
Quiconque a un look excentrique risque de se prendre des réflexions plus ou moins désagréables. De là vient l’expression “assumer son look”.
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Agnès Saal : le politiquement correct est une immense source de profit
Mais que devient Agnès Saal, qui a été condamnée en 2016 pour détournement de fond public ? Elle a obtenu un nouveau poste consistant à apposer un label de conformité au politiquement correct dans la fonction publique. Travailler dans le secteur du politiquement correct permet donc d’obtenir des planques bien payées dans les administrations des entreprises publiques ou privées.– Lire cet article –
Venus Williams dénonce le sexisme de la compétition à Wimbledon
Venus Williams s’est plainte du peu de place accordée aux joueuses sur les courts principaux de Wimbledon.
Venus Williams estime que la programmation des matches ne met pas assez en avant les joueuses de tennis, et elle a fait part de son mécontentement : «Je ne veux pas manquer de respect. Je suis prête à jouer n’importe où et n’importe quand. Mais tous les joueurs doivent jouer en extérieur. Il ne doit pas y avoir d’inégalité à ce sujet. Ce n’est pas le programme idéal pour les femmes. Nous aimerions avoir le même nombre de matches sur les courts principaux. Nous ne voulons pas plus, nous voulons autant, voilà tout. Pour être claire… Je veux juste l’égalité hommes-femmes, c’est ce qui me gêne.»
Si on suit la « logique » de l’égalité homme-femme, Venus Williams devrait être inscrite dans une compétition unisexe.
USA : un élève d’école primaire interrogé par la police pour avoir dit le mot brownie
La police a été appelée à la fête d’une école du New Jersey après qu’un élève ait été accusé de racisme pour avoir dit le mot « brownie ».
Des officiers de police ont interrogé le garçon de neuf ans à la William P. Tatem Elementary School.
Le garçon a mentionné le mot «brownie» en parlant de gâteaux au chocolat servis pendant la fête, et un autre élève l’a accusé d’être raciste. Cela a incité le personnel de l’école à appeler la police.
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