Le chanteur Dave a très légèrement bousculé Léa Salamé en faisant une petite blague sur le plateau de l’émission de Laurent Ruquier. Selon un chroniqueur de l’Obs, il s’agirait d’une humiliation publique due au fait les femmes sont considérées comme des objets sexuels.
Elle pose en petites tenues sur Instagram, reçoit des propositions indécentes et décide de se venger
Emily Sears, top model australienne qui vit à Los Angeles, est très active sur Instagram, où elle est suivie par pas moins de 2,4 millions de personnes. Sur le réseau social, elle partage de nombreuses photos où elle s’affiche en petites tenues.
Cela attire l’attention de quelques obsédés. Elle reçoit ainsi “au moins une ou deux photos de pénis par jour”. “J’en ai vraiment marre de ce genre de messages dégoûtants”, a expliqué la jeune femme.– Lire cet article –
La poupée Barbie est le fantasme d’une perfection un peu vulgaire, blonde taille fine et gros seins
Selon Mazarine Pingeot, professeur agrégée de philosophie, une femme blonde est vulgaire, surtout si elle a la taille fine et une poitrine voluptueuse.
Si on compare Uma Thurman et Mazarine Pingeot, la vulgarité d’Uma Thurman (photo ci-dessus), ne saute pas aux yeux.– Lire cet article –
Une neurologue est suspendue de son poste après avoir agressé un chauffeur de taxi
De nos jours, avec les smartphones, les caméras sont partout. La vidéo de quelqu’un qui fait du grabuge dans la rue va être rapidement postée sur YouTube. Ces types de vidéos sont parfois regardés par des millions de personne, de sorte que ceux qui sont impliqués dans un incident sont très vite reconnus par un ami, un membre de la famille ou un collègue de travail.
C’est ce qui est arrivé à une neurologue de Miami, Anjali Ramkissoon. Anjali Ramkissoon (30 ans) est en quatrième année de neurologie à l’Université de Miami. La jeune femme travaille au Jackson Memorial, un centre médical universitaire.
Le soir de l’incident, un client vient d’entrer dans un taxi qu’il a commandé. Anjali Ramkissoon veut s’accaparer ce taxi et monte directement dans la voiture. Elle n’a qu’une idée en tête, prendre cette voiture pour rentrer chez elle après une soirée bien arrosée.– Lire cet article –
Julie Delpy : “Il n’y a rien de pire que d’être une femme dans l’industrie du cinéma”
Julie Delpy était présente au célèbre festival Sundance pour présenter le dernier film dans lequel elle joue, Wiener-Dog, de Todd Solondz.
L’actrice a été invitée par la presse à réagir à l’énorme polémique qui agite les Oscars depuis plusieurs jours autour de l’absence d’acteurs noirs parmi les nommés. Et si Charlotte Rampling considérait ce vendredi qu’il s’agissait là de racisme anti-blancs, Julie Delpy s’est, elle, lancée dans une comparaison : “Il y a deux ans j’ai dit quelque chose sur le côté très hommes blancs de l’Académie (des Oscars) et je me suis fait tailler en pièces par la presse. C’est drôle, les femmes ne peuvent rien dire” a-t-elle d’abord expliqué avant de laisser échapper une phrase qui lui a déjà valu de nombreuses critiques sur Twitter : “Parfois, j’aimerai être afro-américain parce que personne ne vous tape dessus. Etre une femme est beaucoup plus dur à mes yeux. Le féminisme, c’est quelque chose que les gens abhorrent par-dessus tout. Il n’y a rien de pire que d’être une femme dans l’industrie du cinéma”.– Lire cet article –