Depuis la chute d’Harvey Weinstein, on ne compte plus les milliers d’hommes embastillés dans les geôles tenues par les féminazies. Et Henry Cavill craint de les rejoindre.
C’est bien connu, depuis l’avènement du mouvement #MeToo et de sa continuation française, #BalanceTonPorc, les femmes ont achevé de détruire l’art de la séduction de rue, le plaisir du marivaudage et piétiné la beauté de la drague de bar. Mais l’homme du quotidien n’est pas le seul à se voir désormais interdit de dragouille, sous peine de se voir déporté dans les cachots anti-masculinistes. Même les stars craignent pour leurs gamètes.
C’est ce qu’a expliqué Henry Cavill, prochainement à l’affiche de Mission Impossible : Fallout, dans un entretien à GQ, au cours duquel il a pu expliquer son grand désarroi quant à la difficulté d’aborder les femmes dans ce complexe XXIe siècle.
« C’est très compliqué si certaines règles se mettent en place. Parce que ça donne quelque chose comme : je ne vais pas aller lui parler, parce qu’on va me qualifier de violeur ou je ne sais pas quoi. Du coup on se dit : “Tant pis, à la place, je vais appeler une ex-copine, et recommencer une relation qui n’a jamais vraiment marché.”
Mais ça reste beaucoup plus sûr que d’ouvrir les portes de l’enfer parce que je suis une personnalité publique, et si je vais flirter avec quelqu’un, qui peut dire ce qui va m’arriver ?
De nos jours, on ne peut tenter le coup au-delà du “non”. Alors on se dit “Bon, ok”. Puis vient le : “Oh mais pourquoi il abandonne déjà ?”. Bah parce que je n’ai pas envie d’aller en prison. »