San Francisco : une ville pleine de start up et pleine de geek, mais pauvre en rencontre
Après une rupture amoureuse, Sebastian Stadil, 31 ans, décide de se lancer à l’assaut de Tinder pour trouver la femme de ses rêves. Après avoir optimisé sa photo de profil en fonction du nombre de likes obtenus sur l’application, Sebastian Stadil passe à la vitesse supérieure.– Lire cet article –
Des comportements particulièrement stupides : être filmé peut devenir une recette pour le désastre
Prenez un idiot qui est filmé par un autre idiot : le fait d’avoir une caméra va les pousser à avoir des comportements particulièrement stupides, comme nager volontairement au-dessus d’une raie, puis être tué par ses coups de dards, comme le présentateur australien Steve Irwin (photo ci-dessus).
Des pourris font de l’argent sur Youtube en montrant des comportements pitoyables, comme se faire piquer volontairement par un scorpion pour faire de l’audience et gagner de l’argent.
Big is beautiful : une publicité pour la marque Lane Bryant
Le politiquement correct pousse à la violence : le terroriste Ahmad Khan Rahami s’était dit victime de discrimination
Les partisans du politiquement correct divisent les gens en plusieurs groupes. Selon eux soit on fait partie d’un groupe protégé (les gens d’origine non-européenne, ceux de religion non-chrétienne), soit on fait partie d’un groupe à attaquer (les hommes catholiques par exemple).
Quelqu’un qui fait partie d’un groupe à attaquer est forcément mauvais quoi qu’il fasse, quelqu’un qui fait partie d’un groupe protégé est forcément une victime, quoi qu’il fasse. Les partisans du politiquement correct font une hiérarchie entre les individus en fonction du groupe où ils les ont classés : groupe protégé, ou bien groupe à attaquer.– Lire cet article –
Fashion Week de New York : un défilé tout en voile islamique
La créatrice de mode indonésienne Anniesa Hasibuan a fait défiler, pour la première fois, la totalité des mannequins en voile islamique.
Les marques de haute couture se saisissent de cette nouvelle tendance modest fashion (la mode “pudique”), un marché juteux en plein boom.
Fait paradoxal, à Jakarta, la capitale de l’Indonésie, les femmes en tenue chic ne portent pas le voile islamique dans la vie de tous les jours, et sont toujours habillées à l’occidentale, sauf en de rares occasions.
Melanie Elturk, manager chez Haute Hijab, une marque qui vend des hijabs aux USA, a déclaré au sujet de ce défilé : “Je crois que la mode est un exutoire dans lequel on peut présenter les changements culturels de la société d’aujourd’hui afin de normaliser le hijab en Amérique. Ceci afin d’en finir avec les stéréotypes et démystifier les mauvaises conceptions. Le show d’hier soir était un grand pas dans cette direction”.