Un document de NBC news du 10 juin 2016 montre Hillary Clinton ayant une crise avec des mouvements saccadés involontaires.
Cette crise survient au cours d’une interview, Hillary Clinton et ses gardes du corps mettent fin à la rencontre avec des journalistes en raison de cette crise.
Regardez-bien la réaction de la journaliste blonde qui interroge Hillary, le visage de cette journaliste montre une expression de peur (légitime) en voyant Hillary Clinton prise de convulsion. Hillary Clinton tente de rassurer les journalistes en disant après cette crise de convulsion la phrase « Cette boisson est vraiment délicieuse », sous-entendu « C’est cette boisson si délicieuse qui me donne des spasmes de joie, je n’ai pas de crise étrange, rassurez-vous».
Lorsque vous lisez un article sur l’état de santé d’un homme ou d’une femme politique, il peut s’agir d’une attaque de ses opposants politiques, sans fondement réel. On parle souvent de théorie du complot, mais le fait de se soucier de la santé d’un candidat au poste du pays le plus puissant de la planète ne fait pas de vous un complotiste.
Dans le cas d’Hillary Clinton, qui a 68 ans, des médias de tous les bords politiques ont documenté un problème neurologique majeur apparu en 2012.
Le département d’Etat a régulièrement communiqué ces trois dernières semaines sur la santé de la secrétaire d’Etat, mais sans dissiper toutes les interrogations de médias et d’élus républicains face à une absence inédite et aussi longue. M. Reines avait d’abord annoncé le 9 décembre que Mme Clinton avait attrapé un “virus gastrique” l’obligeant à annuler une tournée en Afrique du Nord. Une semaine plus tard, le 15 décembre, le même conseiller et les médecins de Mme Clinton avaient révélé une “commotion cérébrale” après un “évanouissement” dû à une “forte déshydratation”.
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Dans un bref communiqué, son plus proche conseiller Philippe Reines a expliqué qu'”au cours d’examens pratiqués aujourd’hui (dimanche), les médecins de Mme Clinton ont découvert qu’un caillot de sang s’était formé à la suite de la commotion cérébrale subie il y a plusieurs semaines”. “Elle est soignée avec des anticoagulants et est à l’hôpital presbytérien de New York pour que son traitement soit suivi au cours des prochaines 48 heures”, a-t-il ajouté.
Mme Clinton, ancienne sénatrice de l’Etat de New York, partage ses domiciles entre cette ville et Washington. “Ses médecins vont continuer à évaluer son état de santé, y compris d’autres problèmes liés à la commotion cérébrale. Ils détermineront s’il y a d’autres mesures à prendre”, a encore écrit M. Reines, sans plus de détails.
Le problème des hommes et des femmes politiques est que leur soif de pouvoir est souvent si grande que quasiment aucun problème de santé ne peut calmer leur ambition.
Ainsi François Mitterrand se savait atteint d’un cancer, ce qui ne l’a pas empêché de se présenter aux élections.
Extrait de la page Wikipédia sur François Mitterrand
François Mitterrand se savait atteint d’un cancer de la prostate dès 1981, c’est-à-dire l’année de sa première élection à la présidence de la République. Selon Claude Gubler son médecin, il lui aurait ordonné de falsifier ses bulletins de santé, il dissimule sa maladie jusqu’au 11 septembre 1992, date à partir de laquelle il doit se faire opérer. Cinq jours plus tard, pour la première fois, un président de la République française en exercice parle d’une maladie dont il est atteint. Pour certains de ceux qui le côtoyaient (des journalistes ou le Premier ministre Édouard Balladur), sa souffrance et sa fatigue physique l’obligèrent à déléguer beaucoup de ses prérogatives mais ne diminuèrent pas sa capacité intellectuelle à exercer pleinement son mandat, ce que Claude Gubler conteste, considérant que François Mitterrand n’était plus en mesure d’exercer ses fonctions pendant plusieurs semaines à la fin de l’année 1994.
Une solution serait peut-être que tous les candidats au poste de président de la république passent un bilan de santé fait par une équipe de médecins utilisant des données anonymes (le dossier de santé du candidat serait non identifiable pour garantir leur impartialité).